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Israel Palestine peace talks: Martin Indyk appointed

Israel Palestine peace talks have resumed in Washington D.C. with Martin Indyk appointed.

Source: BBC
Months of efforts have paid off as Israeli and Palestinian negotiators began peace talks again.

All sides dined together to mark the start of the talks. The new round of talks are backed by U.S. President Obama.

In an announcement at the Department of State in Washington D.C., US Secretary of State John Kerry appoints Martin Indyk as the Special Envoy for the Israeli-Palestinian negotiations.

Indyk said the mission is to “take this breakthrough and turn it into a full fledge Israeli-Palestinian peace agreement”. He called it a “daunting and humbling challenge”.

Martin Indyk

Martin Indyk have been the U.S. Ambassador to Israel from 1995 to 1997, and again from 2000 to 2001. He have served as Assistant Secretary of State for Near East Affairs during the Clinton Administration.

Indyk have worked with Israeli PMs Rabin and Barak on the Oslo peace process in 1993.

Indyk is Jewish, born in London and raised in Australia. He emigrated to the United States and later gained U.S. citizenship.
 
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If right wing government signs agreement then people will support it for sure.

Then do you believe that the right wing party are serious about peace?

I believe this is the best time for peace. All Arab and Muslim countries will establish full relations with Israel. I am not saying people would accept it over night, but they will do so in a while after mingling with Israelis and seeing the their part of the story. Furthermore, people here are tired of wars and conflicts, they would like to see peace than ever before. And as for radical movements, they will be isolated and eventually outcasted.
 
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Then do you believe that the right wing party are serious about peace?

I believe this is the best time for peace. All Arab and Muslim countries will establish full relations with Israel. I am not saying people would accept it over night, but they will do so in a while after mingling with Israelis and seeing the their part of the story. Furthermore, people here are tired of wars and conflicts, they would like to see peace than ever before. And as for radical movements, they will be isolated and eventually outcasted.

7abibi, I largely agree and don't forget that about 25% of the Israeli population are Arab Muslims and they are growing. Israel and the Arab world will have to settle the scores. It would be a great move for the region. Besides we have one big cancer in our world right now - إيران.
 
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@ 500

Palestinian - Israeli peacetalks


Iran is offside (But only now) : Assad is completely offside ! Hezbollah is offside ! Hamas is offside ! Islamic Jihad Movement is offside !


It's now or never.
 
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@ 500

It’s true ?


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Réactions mitigées mais majoritairement positives à la reprise des négociations en Israël

21 Juillet 2013


La droite affiche son scepticisme, alors que la gauche israélienne promet de "protéger" la coalition.

Des réactions sont parvenues de tous les bords politiques samedi soir puis dimanche matin en Israël, avec la reprise de l'activité à l'issue du shabbat. Certain partis de droite ont menacé de quitter la coalition gouvernementale, tandis que la gauche a réitéré son soutien au Premier ministre et s'est dite disposée à entrer dans une coalition pour soutenir les négociations.


Déclarations au conseil des ministres israélien

Lors de la réunion hebdomadaire du cabinet israélien, dimanche matin, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a prévenu que les "pourparlers seront difficiles" mais s'est dit sincère dans son intention de les mener à bien.

Il avait déjà réagi samedi soir affirmant que les négociations étaient dans l'intérêt "vital" d'Israël, au lendemain de l'annonce par le secrétaire d’État américain John Kerry d'un accord dans ce sens.

"La reprise du processus de paix est dans l'intérêt stratégique de l’État d'Israël", a dit M. Netanyahu dans un communiqué. "Il est en soi important de tenter de mettre fin au conflit entre nous et les Palestiniens, et il est important en raison des défis auxquels nous sommes confrontés, en particulier l'Iran et la Syrie".

M. Netanyahu a en outre affirmé qu'Israël voulait "empêcher (l'établissement d') un État binational (...) qui menacerait l'avenir de l’État juif, et l’établissement à l'intérieur de nos frontières d'un autre État terroriste parrainé par l'Iran."

Les responsables israéliens ont presque unanimement congratulé le Premier ministre sur sa capacité à relancer les négociations sans céder sur des conditions préalables demandées par les Palestiniens.


Scepticisme à droite

Le ministre israélien de la Défense, Moshe Yaalon (Likoud, droite), généralement considéré comme un faucon pour ses prises de positions très fermes sur le dossier iranien, a applaudi la décision du gouvernement israélien. "Nous montrons notre volonté à négocier immédiatement, n'importe où, et sans conditions préalables. Nous avons insisté pour commencer ces négocations sans conditions, contrairement aux demandes palestiniennes de déclarer la base des frontières de 1967 et le gel des constructions" dans les implantations de Cisjordanie, a-t-il affirmé.

Le ministre du Tourisme, Uzi Landau (Israël Beitenou, droite nationaliste), a pour sa part estimé que négocier est "un intêret israélien" mais refusé toute concession sur le territoire conquis lors de la Guerre des six jours comparant les lignes de 1967 aux "lignes d'Auschwitz".

Le principal partenaire de la coalition de Benyamin Netanyahou, Naftali Bennett (HaBait HaYehoudi, droite nationaliste) a pour l'instant indiqué son intention de rester au gouvernement mais s'est montré réservé sur la reprise du dialogue avec les Palestiniens. "Avec la reprise des négociations, nous insisterons pour que la construction continue en Judée Samarie et à Jérusalem Est. L'histoire nous a prouvé que la construction amène la vie, et que l'évacuation de nos communautés amène au terrorisme", dans une référence implicite au désengagement de Gaza que son parti considère comme une erreur.

Les dernières négociations de paix ont très rapidement achoppé sur la poursuite de la colonisation israélienne à Jérusalem-Est et en Cisjordanie. Naftali Bennett a rejeté tout gel possible de la construction dans les implantations et insisté qu'Israël ne permettrait pas à l'Europe de prendre part au processus car celle-ci s'était "discréditée" par l'adoption d'une directive qui limite la coopération européenne avec les Israéliens installés dans les implantations.


Soutien à gauche et au centre

A gauche, Tzipi Livni (HaTnoua, centre-gauche), chargée de conduire les négociations avec les Palestiniens à Washington, avait déjà assuré samedi à la télévision publique israélienne qu'il n'y avait pas de conditions préalables et que "tout sera sur la table" des négociations, y compris les frontières de 1967 et Jérusalem-Est dont les Palestiniens veulent faire la capitale de leur futur État.

La chef du parti travailliste et de l'opposition, Shelly Yachimovich, a salué "une occasion importante", laissant entendre qu'elle serait prête à rejoindre le gouvernement de Benyamin Netanyahou en cas de défection des partis de droite hostiles à la création d'un Etat palestinien.

Yaakov Peri (Yesh Atid, centre), un ancien chef des services de renseignements israélien, a abondé dans son sens, affirmant que "la majorité des députés de la Knesset (le parlement israélien, ndlr) est en faveur d'un accord. Si la coalition ne le permet pas, il faudra en changer".


De son côté, le président israélien et prix Nobel de la paix, Shimon Peres, s'est entretenu au téléphone dimanche matin avec le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas pour le féliciter de "son courage et sa décision historique" de reprendre les pourparlers avec Israël.


i24news
 
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This is the right attitude of the EU towards Jews

Progressive-Left Jews and the European Union

By any fair framing of the issues it has to become clear, by this late date, that the progressive-left, as a movement, has betrayed its Jewish constituency. The EU is hardly right-wing. It is, in fact, a creation of the left and it is not fringe, but central. It is one of the major players in the world today and it is anti-Israel, if not anti-Semitic.
 
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This is the right attitude of the EU towards Jews

Progressive-Left Jews and the European Union

By any fair framing of the issues it has to become clear, by this late date, that the progressive-left, as a movement, has betrayed its Jewish constituency. The EU is hardly right-wing. It is, in fact, a creation of the left and it is not fringe, but central. It is one of the major players in the world today and it is anti-Israel, if not anti-Semitic.

I would say the left is anti Israël and there's nothing wrong with that. U can find more anti semetism in far right.

On the other hand, there are also far right israel supporters because they they like how Israel kills muslims etc and they see it as their ally, in their war on islam...
 
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when you got america mediating the peace talks you know they aren't going to get anywhere. Martin Indyk is even an AIPAC member
 
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